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  • Photo du rédacteurChristian B.

Géorgie - Carnet de voyage Tbilissi #3

Dernière mise à jour : 2 oct. 2023

Dimanche 16 juillet

Température 28° mais elle va grimper... Vent fort 30/60 km/h, le vol drone autour de la Metekhi St Virgin church à 7 heures me semble hasardeux.


C’est à nouveau une longue journée de visites, le nez au vent, qui nous emmène d'abord vers l'est dans le quartier Avlabari pour découvrir la nouvelle Tsminda Sameba Cathedral ( cathédrale de la Sainte-Trinité ) une cathédrale orthodoxe construite en 2004.

Cette cathédrale de la Sainte Trinité est considérée comme le symbole de la Géorgie nouvelle.


Magnifiquement située sur la colline de Saint-Ilya, un peu éloignée de la rive gauche de la rivière Kura, sa beauté et ses dimensions sont en effet à couper le souffle.


Son dôme doré est visible pratiquement de n'importe quel endroit de Tbilissi. Enfin, la cathédrale fait partie d’un complexe comprenant la résidence du patriarche, un monastère, une école de théologie et une académie, un hôtel et de neuf chapelles, dont cinq sont situées sous terre ! La richesse de l’église orthodoxe n’a rien à envier à l’église catholique romaine…


Il y a une cérémonie mais je vole quand même quelques clichés sans qu’il ne me soit fait la moindre remarque.


Nous retraversons le quartier Avlabari, en direction du marché. En chemin, arrêt devant une petite échoppe de boulanger, Pavel nous fait goûter un pain géorgien en forme de galette allongée.


Depuis la rue, en me penchant par l’ouverture, je prends des photos des deux fours de la taille de ceux qu'on voit dans nos pizzerias ou plutôt dans les vieux fours de village en Savoie. Ils sont ici enterrés au 2/3 et l’ouverture se fait par-dessus. Le boulanger m'invite à faire le tour de l’immeuble et entrer dans son atelier.


Nous prenons le métro pour revenir dans la partie ouest de la ville. Le Tbilisis Métropolitain connait des changements, les stations ont été modernisées et perdent progressivement leur impayable look d’inspiration soviétique.


Retour à l’air libre pour découvrir l’important marché aux puces installé aux extrémités du Pont Sec et tout au long d’un quai de la rive droite de la Kura.


Quelques objets de valeur dans des boutiques couvertes, mais à des prix relativement élevés, pour de l'argenterie par exemple. Un certain nombre de petits stands installés à même le sol proposent instruments de cuisine, pièces de monnaie et autres objets de l'époque soviétique, des souvenirs prisés par les touristes.


Certains se sont même installés dans l’entrée d’un parc voisin. En ce début d'après-midi, peu d'acheteurs, alors, les marchands occupent le temps par des parties de jacquet. Ambiance bon enfant.


→ Cliquer sur les photos pour les voir en grand format



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